« L’UQAM n’a fourni aucune preuve tangible démontrant en quoi ces photos ont pu causer un dommage à sa réputation ou à son image, réfute cependant David Banon, l’avocat représentant Hélène Boudreau. Nous sommes d’avis que l’UQAM n’a subi aucun dommage moral ou punitif. »